Carine LAUBER
Artiste peintre
FAUN'ETIK
L'art au service de l'animal
Association loi 1901 RNA : W133036708
Sensibiliser encore et témoigner pour l’avenir, c’est l’espoir que veut garder l’artiste peintre Carine LAUBER qui reprend ses pinceaux comme autant de bâtons de pèlerin qui nous portent à nouveau sur la route du projet FAUN’ETIK initié en 2020. Carine réalise des peintures à l’huile qui s’inspirent d’espèces animales menacées par l’activité, la violence ou l’indifférence humaine.
25% des bénéfices de la vente des œuvres sont reversés à une association de protection animale en partenariat avec l'artiste.
Présentation du projet FAUN'ETIK
FAUN'ETIK, L'art au service de l'animal (thebookedition.com)
Livre 21x29,7cm de 138 pages.
L'ouvrage comprend 65 peintures à l'huile, chacune racontant une histoire différente sur un animal ou une espèce en danger. Ces œuvres sont accompagnées de réflexions de l'artiste, offrant un regard intime et personnel sur chaque sujet.
FAUN'ETIK Les yeux du monde - Carine Lauber (thebookedition.com)
Livre de poche de 52 pages.
Tout le travail réalisé dans le cadre du projet FAUN’ETIK avec les scolaires est repris dans l’ouvrage de 162 pages autoédité par l’artiste. Vous y retrouverez ses œuvres en face à face avec tout le travail d’écriture qui a été réalisé par les enfants des écoles primaires de La Ciotat.
Cette toile illustre l’histoire bouleversante de Kiara et Philibert, deux panthères désormais résidentes du Refuge de l’Arche. Ces deux majestueux félins se tiennent côte à côte, symbole de leur destin commun et du lien invisible mais puissant qui unit désormais ces deux félins. Autour d’eux, deux papillons en plein vol se rejoignent dans une danse légère. Ils incarnent la renaissance et la transformation.
Kiara, une panthère noire, est une survivante du chaos ukrainien. Issue du trafic illégal d’animaux, elle aurait été laissée dans une maison abandonnée par son propriétaire qui a fuit la guerre.
À ses côtés, Philibert, a été saisi chez des particuliers qui le possédait en toute illégalité. Saisi dans des conditions déplorables, il retrouve dans ce refuge une seconde chance et une nouvelle vie.
Cette toile témoigne de l'espoir que représente le Refuge de l’Arche pour ces animaux issus de la souffrance humaine et du commerce illégal. Elle invite à la réflexion sur la protection de la faune sauvage, tout en célébrant la résilience et la renaissance de ces deux panthères qui, se retrouvent unies par leur nouvelle vie.
Cette toile représente un porcelet, symbole poignant des souffrances endurées par les animaux dans les élevages intensifs. Elle dénonce la détention injuste de ces êtres sensibles, utilisés pour la consommation humaine. Inspirée par l'engagement de l'association L214, cette œuvre met en lumière les pratiques inhumaines dans certains abattoirs qui ne respectent pas les règles essentielles au bien-être animal.
Les papillons qui s'envolent dans cette scène sont porteurs d'espoir. Ils incarnent la liberté, la nature et la vie. Leur présence suggère un avenir où les animaux pourront enfin s'affranchir de cette cruauté, et retrouver le droit de vivre dans la dignité.
Par cette œuvre, je souhaite offrir un regard critique sur la réalité des élevages intensifs, tout en invitant à réfléchir à un avenir plus respectueux de la vie animale.
25% des bénéfices de la vente de cette oeuvre seront reversés à L214.
Cette peinture est une ode à la nature, une scène qui capture à la fois sa beauté pure et son mystère. Au cœur de cette forêt, baignée dans une lumière douce, un cerf et sa biche se tiennent immobiles, comme figés dans le temps. Les faisceaux de lumière percent le feuillage, illuminant délicatement les contours des deux cervidés. Une complicité silencieuse, comme deux amants surpris dans un moment de tendre intimité. Leur posture suggère qu’ils ont été pris au dépourvu, interrompus par notre intrusion, mais sans la moindre trace de peur. Ils incarnent la majesté et la sérénité de la nature, deux êtres qui semblent appartenir à un autre monde, un monde où chaque être est en parfaite harmonie avec son environnement.
Au-dessus d'eux, un corbeau s'élève, battant des ailes comme pour s'assurer que l'équilibre de la scène ne soit pas perturbé. Il veille sur cette scène, protecteur vigilant de la nature et des créatures qui la peuplent.
Ce tableau est une invitation à la contemplation, un rappel que la nature est à la fois belle et sacrée. Le cerf et la biche, tels deux amants mystiques, symbolisent la splendeur et le côté divin de la nature, le corbeau, quant à lui, est là pour rappeler que cette beauté est fragile.
Sur la toile, le couteau a sculpté un flamant rose, son corps se métamorphosant en une rose délicate. Cette rose, symbolise les cultures florales luxuriantes du Kenya, terres fertiles pour les roses de Saint-Valentin. Pourtant, derrière cette beauté se cache une ombre grandissante, une catastrophe écologique silencieuse.
Le lac Naivasha, jadis miroir d'eaux claires et refuge pour une faune vibrante, s'assèche inexorablement. Les cultures de roses, gourmandes en eau, drainent le lac de sa vie. Les poissons, ne survivent plus, et les oiseaux autrefois si nombreux s'évanouissent dans l'oubli. Le flamant rose, emblème de ces rivages, voit son avenir s'effriter.
Le fond de la toile, d'un brun terreux, évoque la désolation d'un lac agonisant. Survolant cette scène de désastre, un papillon en noir et blanc plane, messager de la mort. Ses ailes contrastent avec le spectre de couleurs vives de la rose, rappelant que toute beauté a son prix.
Les flamants roses, victimes de la déforestation et du changement climatique, sont en voie de disparition. La montée des eaux d'autres lacs, conséquence directe de la perturbation climatique et de la déforestation, accentue leur exil forcé. Chaque pétale de la rose, chaque trait du couteau, murmure la fragilité de ces écosystèmes sacrifiés sur l'autel du commerce des fleurs.
Et lorsque ces roses, après un long voyage au bilan carbone désastreux, parviennent en Europe pour orner les bouquets de la Saint-Valentin, elles portent en elles la tristesse de Naivasha, la mémoire d'un paradis perdu. Le flamant rose, fragile et éphémère, se tient là, écho d'une nature en détresse, appel à la conscience d'un monde à protéger.
Cette peinture capture la beauté sereine d'une girafe, symbole de douceur et de grâce, elle incarne l'élégance et la féminité. Sa taille impressionnante, faisant d'elle le plus grand mammifère terrestre, est le reflet de sa bonté intérieure tout aussi immense. Malgré cette noblesse apparente, la girafe est confrontée à des menaces croissantes. En dehors des espaces protégés, leur habitat est constamment fragmenté sous la pression de la croissance démographique. Ces animaux majestueux sont également chassés pour leurs os, leur cervelle ou leurs queues, auxquels certaines cultures attribuent des vertus thérapeutiques contre le sida.
Cette toile souligne la fragilité et la précarité de cet animal emblématique.
Dans ce tableau, le regard perçant du léopard de l'amour capte immédiatement l'attention. Ses yeux bleus, profonds et mélancoliques, fixent un papillon bleu symbole d'un espoir fragile. La rencontre entre les deux êtres est poignante, car ce léopard est devenu extrêmement rare dans son habitat naturel. Seule une cinquantaine d'individus survivent encore, cachés dans les forêts et les zones rocheuses de la région de l'Amour et de l’Oussouri, le long de la frontière entre la Chine et la Russie.
La disparition du léopard de l'amour est directement liée aux activités humaines. L'homme, en empiétant sans cesse sur son territoire, a réduit son habitat de manière drastique, entraînant une perte de 90% de son espace vital à cause de la déforestation. En outre, ce félin est victime d'une persécution intense, car la médecine chinoise lui attribue des vertus médicinales, alimentant une chasse excessive et aveugle.
Aujourd'hui, la situation est critique : il y a plus de léopards de l'amour en captivité que dans la nature, avec environ 200 félins répartis dans les zoos du monde entier.
Le regard du léopard, fixé sur ce papillon, semble implorer l'humanité de changer de cap, avant qu'il ne soit trop tard.
Cette toile représente deux figures, souvent perçues comme des symboles de chaos et de danger. Le Joker, incarnant la folie et la violence, tandis que la hyène évoquant souvent la sauvagerie et le carnage, avec son rire qui alimente sa réputation.
Mais cette toile nous invite à regarder au-delà des apparences et à remettre en question nos préjugés. Le jeune Joker, derrière son maquillage, a des yeux empreints de douceur. La hyène, à ses côtés, n'est pas une bête enragée mais semble attentive, presque protectrice envers l'enfant. Le colibri apporte une touche de lumière et de vie. Son plumage vif contraste avec les teintes sombres de la scène, symbolisant l'espoir et la rédemption.
Ainsi, cette toile met en lumière la complexité de ce que nous considérons comme "bon" ou "mauvais". Elle montre que ceux que nous étiquetons comme dangereux ou indésirables peuvent également être des êtres sensibles, blessés par la vie ou mal jugés à cause de leur différence.
La hyène brune et la hyène rayée, toutes deux classées comme "quasi-menacées" sur la liste rouge de l'UICN, font face à des menaces similaires, principalement causées par l'homme, bien que la hyène rayée ait subi un grave effondrement de ses populations, en particulier en Afrique occidentale, où elle a été totalement éradiquée de nombreuses régions, y compris dans certaines zones protégées.
Le nandou d'Amérique, ce bel oiseau terrestre a été placé au Refuge de l'Arche suite à une nouvelle recommandation qui modifie ses conditions de détention chez les particuliers.
Aujourd'hui, le nandou souffre de la réduction de son habitat (pour faire pâturer le bétail) et de la chasse menée par les agriculteurs quand il s’attaque aux récoltes. Victimes de braconnage pour leur viande et leurs plumes, ces oiseaux sont désormais confrontés à un déclin régulier, les plaçant sur la liste des espèces "quasi menacées" selon l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).
Cette toile est une rencontre entre deux mondes, l'harmonie entre l'homme et la nature.
Le petit colibri est un messager entre ces deux êtres si différents, mais pourtant unis dans cet instant magique.
À travers cette peinture, une pensée s'envole vers un jeune Tarzan, l'enfant sauvage trouve sa place dans cet écosystème, en symbiose parfaite avec les créatures qui l'entourent. C'est un appel à retrouver notre innocence perdue, à renouer avec nos racines primordiales, à préserver la beauté fragile de notre planète.
Dans cette dernière création artistique, j'ai exploré pour la seconde fois la rencontre entre le passé préhistorique et le présent en mettant en scène un portrait d'un cheval de Przewalski. Cet équidé fascinant, venant d'une population férale, est le résultat d'une longue lignée d'ancêtres domestiqués il y a environ 5 500 ans.
Le cheval de Przewalski, avec sa crinière ébouriffée et son regard intense, nous renvoie l'esprit sauvage de ces créatures. J'ai choisi d'ajouter une dimension à cette représentation en incorporant une main humaine et des silhouettes qui évoquent les peintures rupestres.
Cette fusion d'éléments contemporains et préhistoriques vise à créer une connexion intemporelle entre l'homme et l'animal. La main, dont les doigts semblent caresser l'encolure puissante du cheval, symbolise notre lien ancestral. Les silhouettes évoquant les peintures rupestres rappellent nos ancêtres qui, bien avant la domestication des chevaux, ont laissé leur empreinte artistique sur les parois des grottes.
Cette peinture souligne la continuité de la relation entre l'homme et le cheval à travers les âges.
Les chevaux de Przewalski, bien que distincts des équidés préhistoriques, portent en eux l'héritage de la domestication.
Dans cette œuvre chaque coup de pinceau est une déclaration de soutien envers l'Association des amis des Ânes (ADADA), pour leur engagement infatigable pour protéger, soigner et offrir un foyer sûr aux ânes maltraités.
Ce tableau, nous invite à méditer sur notre relation avec ces créatures aimantes, à reconnaître la beauté dans sa simplicité et à prendre conscience de la nécessité de préserver ce qui nous entoure.
Puissent ces couleurs vibrantes rappeler à chacun la responsabilité que nous avons envers ces êtres vulnérables, et inspirer des actions concrètes pour mettre fin à leur maltraitance.
25% des bénéfices de la vente de ce tableau seront reversés à l'association A.D.A.D.A.
Ziddy est un cacatoès rescapé du trafic illégal.
Au-delà de cette peinture, Ziddy représente le commerce d'animaux sauvages.
Le papillon est une note d'espoir, symbole fragile de la liberté et de la métamorphose.
Ziddy, dans toute sa splendeur retrouvée grâce au Refuge de l'Arche, se tient comme un ambassadeur des animaux sauvages, portant avec dignité le fardeau de son passé pour éclairer un avenir où la compassion triomphe sur l'avidité.
Cette toile invite le spectateur à réfléchir sur son propre rôle dans la préservation de la faune.
Acheter des animaux sauvages contribue malheureusement à perpétuer le cycle vicieux du braconnage et du trafic illégal qui menaçe la biodiversité.
Cette œuvre est une célébration de la nature et de sa résilience. Les yeux de ce petit raton laveur reflètent une lueur d'espoir ravivée par la beauté éphémère d'un papillon, symbolisant la coexistence harmonieuse. Cette connexion intime entre ces deux êtres met en lumière la fragilité et la beauté de chaque être vivant.
R2 renommée Rose, autrefois captive des laboratoires, a trouvé sa voie vers la liberté et la guérison au sein du Refuge de l'Arche, un havre dédié au bien-être animal. Les traces de son passé sont visibles dans ses yeux, témoins silencieux des jours sombres qu'elle a enduré.
Le rouge-gorge symbole de renouveau et d'espoir déploie ses ailes avec grâce, s'envolant vers de nouveaux horizons. La petite macaque et son compagnon ailé sont une ode à la diversité et à l'harmonie qui règnent au cœur de la nature.
L'histoire de cette petite macaque rhésus nous invite à réfléchir sur le traitement réservé aux êtres vulnérables partageant notre planète et à s'engager dans la protection et le respect de toute forme de vie.
Sur le tableau immense de la nature, trône majestueusement un tigre, symbole de puissance et de beauté sauvage. Sa fourrure striée est le reflet de la force brute de la vie animale, tandis que ses yeux perçants semblent percer l'infini de l'espace et du temps. Il incarne la vigueur de la biodiversité.
La planète Terre se profile, baignée dans des teintes de bleu. Elle semble être le tableau sur lequel se déroule la danse du tigre.
Les yeux du tigre, bien qu'ancrés dans l'instant présent, semblent fixés sur un point invisible à l'horizon. Son regard perdu dans l'étendue infinie de l'espoir, il contemple un avenir où la coexistence harmonieuse entre l'homme, la faune et la planète ne serait pas une utopie.
La chouette symbole de curiosité perce les mystères et les secrets en tout genre. Elle est liée à la perspicacité, à la clairvoyance et à la capacité à déceler la vérité.
Son chant triste résonne dans l"univers comme un signal de détresse de notre planète.
Même si la chouette effraie sur l'échelle de conservation de l'UICN n'est classée qu'en préoccupation mineure, ce magnifique rapace nocturne est en danger à cause des activités humaines. L'utilisation de pesticides et la réduction des champs, terrain de chasse de la chouette effraie, ont fragilisé les populations à travers l'Europe et notamment en France.
Cette toile représente nos fidèles compagnons et tous ceux qui subissent la maltraitance parfois de leur propre humain. Abandonnés, déconsidérés après avoir été pourtant choyés, oubliés au fond d'un jardin, déposés dans un refuge comme un objet que l'on souhaite mettre au rebut, c'est malheureusement le triste sort de bien trop d'animaux de compagnie.
L'âne est un animal qui subit la maltraitance dans de nombreux pays.
En France un phénomène de mode le met en danger: manque de soins, abandons... et qui malheureusement le mène souvent à l'abattoir.
L'âne Grand Noir de Berry est en danger d'extinction, ainsi que l'âne Normand.
Après le rhinocéros, dont la corne guérirait le cancer et l’impuissance, et le pangolin, dont les écailles seraient aphrodisiaques, la prochaine espèce à être emmenée au bord de l’extinction par la médecine chinoise et ses croyances pourrait-elle être… l’âne ?
Un véritable massacre se fait au Kenya où des ânes sont battus et égorgés.
Les chiffres sont alarmants : rien qu'en Chine, le nombre d'ânes est passé de 11 millions en 1992 à environ 2,6 millions en 2017. Au Kenya par exemple, près de 378 000 animaux seraient abattus chaque année. Au Kirghizistan, le nombre d'ânes a chuté de 53% entre 2011 et 2017, de 37% au Botswana pour la même période.
"2125" est une toile qui illustre un chapitre poignant et émouvant de l'histoire animale contemporaine, un tableau qui cristallise les destins souvent anonymes des animaux destinés à la consommation. Cette peinture s'inspire d'un événement réel survenu en août 2021, mettant en lumière l'histoire remarquable d'une vache dont le destin a basculé en une course effrénée pour la vie.
Cette vache, a fait preuve d'une volonté farouche de vivre. Juste avant d'entrer dans l'abattoir, saisie par la peur, elle s'est échappée, semant la panique et engageant les gendarmes dans une poursuite inattendue. Fuyant à travers champs et routes, elle a fini par trouver refuge dans un bois isolé. Cette escapade audacieuse, loin d'être vaine, a captivé l'attention et éveillé les consciences.
L'histoire ne s'arrête pas là. La détermination de cette vache et son instinct de survie ont touché le cœur de nombreuses personnes et ont mobilisé des associations de défense des animaux. Grâce à une mobilisation collective, son sort a changé : elle a été épargnée et sauvée de l'abattoir.
"2125" est plus qu'une simple peinture; c'est une ode à la liberté et à la résistance, une réflexion sur la condition animale et les choix de notre société. Elle nous interpelle sur le sort de millions d'animaux, souvent invisibles, dont les histoires restent souvent non racontées.
Le regard de cette vache, empreint de tristesse et d'incompréhension, nous fait ressentir profondément la détresse des animaux sur le chemin de l'abattoir. Il nous rappelle que l'animal est un être vivant qui ressent la douleur et le stress.
De plus, dans un engagement concret envers la cause animale, je suis en partenariat avec l'Œuvre d'Assistance aux Bêtes d'Abattoirs (OABA). Ainsi, 25 % des bénéfices de la vente de cette œuvre seront reversés à l'OABA pour soutenir leurs actions en faveur de la protection et du bien-être des animaux.
"2125" est un témoignage artistique et émotionnel qui nous rappelle que chaque vie est précieuse et que parfois, un acte de courage et de désespoir peut inspirer un mouvement de solidarité et de changement.
Saisi par les services de l’État chez un particulier, Safran a connu un périple marqué par l'incertitude et la transition. Quatre longs mois en transit dans un refuge, loin de son habitat naturel, avant que le Refuge de l’Arche ne lui offre enfin un foyer.
Ses yeux perçants semblent scruter l'horizon lointain. La lionne qui partageait jadis son enclos n'est plus. Son image figée rappelle son absence, son départ prématuré vers une savane qu'elle n'aura jamais foulée, emportant avec elle un morceau de l'âme de Safran.
Récupérée à un zoo privée par AKATIA qui a créé un sanctuaire qui a pour objectif de réhabiliter les chimpanzés issus de trafics. Il se situe à Abidjan en Côte d'Ivoire. Après avoir été soignée, Hawa est devenue la dominante du groupe de chimpanzés.
25% de la vente de ce tableau sont reversés à Akatia.
https://www.akatia.org/fr/le-sanctuaire
Cette peinture représente Gaïa, notre Terre, cette toute première divinité qui est à
l'origine de la vie sur terre. Elle est la puissance créatrice, féconde.
La planète Terre doit être vue comme un ensemble, une harmonie globale.
Et si nous étions tous des héros ?
Wonder Woman ouvre la porte à une nouvelle série "WE CAN BE HEROES" une envie d'associer des icônes au projet FAUN'ETIK, sensibiliser, agir, réagir.
Cette peinture inspirée d'un cliché de l'arrière petit fils de Geronimo rend hommage aux indiens d'Amérique.
Le louveteau hurle à la liberté, le papillon représente l'âme des morts tandis que la lune évoque la fertilité et le renouveau.
"Nous sommes en train de disparaître de la surface de la terre, mais je continue à croire qu'il doit y avoir une bonne raison pour que Yoséné (Dieu) nous ait crées..." Geronimo
A la rencontre de FAUN'ETIK.
Quand un rêve devient réalité. Nager avec cette tortue fut une émotion que je n'oublierai jamais. Sa beauté était au-delà de ce que je pouvais imaginer. Les photos et les films ne sont qu'un faible aperçu de la réalité. Elle m'a regardé en me touchant en plein cœur, j'ai été surprise par son regard, je l'ai observé en essayant de l'imprimer à jamais dans ma mémoire et de ne jamais oublier ses couleurs et dégradés qui sont juste magnifiques.